lmi du 11/08/2017
En recourant à ses technologies d'intelligence artificielle réunies sous
le nom d'Einstein, Salesforce propose aux équipes marketing une
solution pour découvrir et identifier automatiquement sur les réseaux
sociaux des images postées par les consommateurs. Einstein Vision for
Social Studio s'utilise au sein de son cloud Marketing.
L’habitude de partager rapidement des photos sur les réseaux sociaux
s’est installée durablement (bonne ou mauvaise, eu égard aux ressources
ainsi consommées dans les datacenters). Les utilisateurs chargent en un
clin d’œil leurs photos de vacances, de loisirs ou d'événements
personnels ou professionnels, à partir de n’importe quel terminal. Bien
souvent, aucun texte n’accompagne ces images. Comment, dès lors, les
marques peuvent-elles repérer qu’un de leurs produits est mis en avant.
Pour remédier à cet angle mort, Salesforce a de nouveau mis à
contribution ses technologies d’intelligence artificielle réunies sous le nom d’Einstein.
Ces dernières ont déjà été mises à profit pour ajouter des fonctions
prédictives à plusieurs de ses clouds :(Sales, Marketing et Service,
notamment).
Cette fois, l’éditeur de solutions de CRM en SaaS vient d’annoncer
Einstein Vision for Social Studio. Cette solution apporte des fonctions
de reconnaissance d’images directement accessibles au sein des outils de
marketing sociaux du Marketing Cloud de Salesforce. Elle va permettre
d’automatiser la découverte et l’identification d’images plutôt que de
devoir consulter manuellement des milliers d’images. Après avoir établi à
quoi correspondent les photos postées par les consommateurs, les
marques pourront, le cas échéant, s’adresser à eux avec des messages
plus pertinents ou repérer des critiques auxquelles apporter une
réponse.
Salesforce pour les francophones
Veille francophone sur Salesforce
vendredi 11 août 2017
mardi 7 février 2017
Salesforce et ServiceNow investissent dans MapAnything
LMI du 07/02/2017
Spécialisée dans la géolocalisation de données, MapAnything a développé son service sur Salesforce. La société vient de lever 33,1 M$ auprès de plusieurs fonds d'investissement dont Columbus Nova, Salesforce Ventures et ServiceNow Ventures.
Conçue pour les utilisateurs de Salesforce, la solution de géolocalisation développée par MapAnything permet d'améliorer la productivité d'une démarche commerciale ou de suivre le parcours d'une flotte de véhicules. L’outil est utilisé pour optimiser le circuit des visites, identifier de nouvelles cibles, analyser les données agrégées par territoires de vente, ou pour mieux organiser les tournées de maintenance ou de dépannage. Après un 1er tour de table de 7,3 millions de dollars l’an dernier, la société fondée en 2009 par John Stewart, CEO, et Ben Brantly, CTO, multiplie la mise par 4,5 en levant cette fois 33,1 millions de dollars. Ce financement de série B a été mené par Columbus Nova et Salesforce Ventures, avec la participation des actionnaires historiques.
Spécialisée dans la géolocalisation de données, MapAnything a développé son service sur Salesforce. La société vient de lever 33,1 M$ auprès de plusieurs fonds d'investissement dont Columbus Nova, Salesforce Ventures et ServiceNow Ventures.
Conçue pour les utilisateurs de Salesforce, la solution de géolocalisation développée par MapAnything permet d'améliorer la productivité d'une démarche commerciale ou de suivre le parcours d'une flotte de véhicules. L’outil est utilisé pour optimiser le circuit des visites, identifier de nouvelles cibles, analyser les données agrégées par territoires de vente, ou pour mieux organiser les tournées de maintenance ou de dépannage. Après un 1er tour de table de 7,3 millions de dollars l’an dernier, la société fondée en 2009 par John Stewart, CEO, et Ben Brantly, CTO, multiplie la mise par 4,5 en levant cette fois 33,1 millions de dollars. Ce financement de série B a été mené par Columbus Nova et Salesforce Ventures, avec la participation des actionnaires historiques.
mardi 4 octobre 2016
Salesforce rachète Krux et sa base de données marketing pour 700 M$
LMI du 4 Octobre 2016
A la veille de l'ouverture de sa conférence Dreamforce, à San Francisco, du 4 au 6 octobre, Salesforce.com annonce l'acquisition de Krux et de sa plateforme de gestion de données (DMP) déjà intégrée depuis plusieurs mois avec son cloud marketing.
Alors qu'il cherche à cherche à bloquer le rachat de Linkedin par Microsoft et que les rumeurs courent sur son intérêt pour Twitter - rumeurs qu'il refuse évidemment de commenter -, Salesforce annonce un nouveau rachat quelques heures à peine avant d'ouvrir sa grande conférence annuelle Dreamforce (San Francisco, du 4 au 6 octobre). Il s'agit de Krux, un spécialiste de la donnée marketing qui a renforcé en mai dernier l’intégration de sa DMP (plateforme de gestion de données) avec le cloud Marketing de Salesforce pour permettre aux utilisateurs de ce dernier d’enrichir les profils de leurs clients. Pour inclure définitivement la DMP Intelligent Marketing Hub dans son univers, la firme de Marc Benioff a décidé de racheter purement et simplement la société. L’acquisition est estimée à 700 millions de dollars.
A la veille de l'ouverture de sa conférence Dreamforce, à San Francisco, du 4 au 6 octobre, Salesforce.com annonce l'acquisition de Krux et de sa plateforme de gestion de données (DMP) déjà intégrée depuis plusieurs mois avec son cloud marketing.
Alors qu'il cherche à cherche à bloquer le rachat de Linkedin par Microsoft et que les rumeurs courent sur son intérêt pour Twitter - rumeurs qu'il refuse évidemment de commenter -, Salesforce annonce un nouveau rachat quelques heures à peine avant d'ouvrir sa grande conférence annuelle Dreamforce (San Francisco, du 4 au 6 octobre). Il s'agit de Krux, un spécialiste de la donnée marketing qui a renforcé en mai dernier l’intégration de sa DMP (plateforme de gestion de données) avec le cloud Marketing de Salesforce pour permettre aux utilisateurs de ce dernier d’enrichir les profils de leurs clients. Pour inclure définitivement la DMP Intelligent Marketing Hub dans son univers, la firme de Marc Benioff a décidé de racheter purement et simplement la société. L’acquisition est estimée à 700 millions de dollars.
dimanche 25 septembre 2016
Avec Einstein, Salesforce apporte du machine learning à ses clouds
LMI du 20/10/2016
Apprentissage machine, analyse prédictive et traitement en langage naturel vont être proposés de façon transversale sur l'ensemble des solutions cloud de Salesforce avec la mise à jour Winter 2016 courant octobre. Ces fonctionnalités s'appuient sur les données clients gérées dans les applications pour tester leur modèle de machine learning. Certaines seront gratuites, d'autres plus sophistiquées, seront payantes.
Les technologies gravitant autour de l’intelligence artificielle poursuivent leur infiltration des logiciels d’entreprise. On savait que Salesforce.com préparait lui aussi son entrée dans ce domaine avec un projet baptisé Einstein. Celui-ci vient d’être présenté. Il s’agit d’un ensemble de capacités d’apprentissage machine, de fonctions analytiques et de traitement en langage naturel intégrées au cœur de la plateforme cloud. Elles interviendront à différents niveaux à travers les clouds de l’éditeur spécialisé dans le SaaS : sur la gestion des prospects et des opportunités commerciales (SFA, Salesforce automation), sur l’élaboration et le suivi des campagnes de marketing et sur les fonctions du service aux clients (centre d’appels), notamment. Le principal concurrent de Salesforce, Dynamics CRM de Microsoft, a déjà intégré des fonctions similaires dans sa version 2016, annoncée l’an dernier.
Pour imprimer sa marque de fabrique, la firme dirigée par Marc Benioff cherche de son côté à démocratiser l’utilisation des technologies d’IA, notamment auprès d’entreprises de toutes tailles qui ne disposent pas des ressources pour recourir à des data scientists, élaborer des modèles d'apprentissage machine et les mettre en œuvre. Einstein va permettre d’exploiter les données gérées dans Salesforce pour découvrir et faire remonter à la connaissance des utilisateurs des informations qu’ils n’avaient pas forcément repérées. Par exemple, sur les opportunités commerciales, ces fonctions vont pouvoir accélérer la mise en évidence des ventes plus intéressantes ou plus faciles à emporter que d’autres (Quick Win) à l’aide des fonctionnalités Predictive Lead Scoring, pointe Olivier N’Guyen, directeur marketing Europe du Sud de Salesforce. Sur la partie marketing, il cite un autre exemple : la possibilité de prévoir les meilleures audiences pour une campagne. « En fonction des résultats obtenus lors de précédentes campagnes sur les taux de conversion, les clics et les taux d’engagement, Predictive Audience va proposer de lancer une campagne sur une nouvelle tranche de marché, ce qui permettra de ne pas s’appuyer uniquement sur son intuition de marketeur », explique-t-il.
Pour imprimer sa marque de fabrique, la firme dirigée par Marc Benioff cherche de son côté à démocratiser l’utilisation des technologies d’IA, notamment auprès d’entreprises de toutes tailles qui ne disposent pas des ressources pour recourir à des data scientists, élaborer des modèles d'apprentissage machine et les mettre en œuvre. Einstein va permettre d’exploiter les données gérées dans Salesforce pour découvrir et faire remonter à la connaissance des utilisateurs des informations qu’ils n’avaient pas forcément repérées. Par exemple, sur les opportunités commerciales, ces fonctions vont pouvoir accélérer la mise en évidence des ventes plus intéressantes ou plus faciles à emporter que d’autres (Quick Win) à l’aide des fonctionnalités Predictive Lead Scoring, pointe Olivier N’Guyen, directeur marketing Europe du Sud de Salesforce. Sur la partie marketing, il cite un autre exemple : la possibilité de prévoir les meilleures audiences pour une campagne. « En fonction des résultats obtenus lors de précédentes campagnes sur les taux de conversion, les clics et les taux d’engagement, Predictive Audience va proposer de lancer une campagne sur une nouvelle tranche de marché, ce qui permettra de ne pas s’appuyer uniquement sur son intuition de marketeur », explique-t-il.
mardi 16 août 2016
Salesforce s'offre la start-up analytique BeyondCore
LMI du 16/08/2016
Salesforce.com vient de procéder à l’acquisition de BeyondCore,
une start-up californienne spécialisée dans la BI et les technologies
analytiques pour un montant non communiqué. L'éditeur de solutions CRM
en mode SaaS compte sur ce rachat pour améliorer les capacités de sa solution Analytics Cloud, selon un tweet
publié ce lundi par son CEO Marc Benioff. Basée à San Mateo,
BeyondCore avait déjà commencé à intégrer son produit au cloud
analytique de Salesforce. Dans un billet de blog, Arijit Sengupta, CEO de BeyondCore, rappelle d'ailleurs que Salesforce
avait, lors du Gartner BI Summit, fait une démonstration de cette
intégration qui devait faire partie de la version 7 de BeyondCore.
La start-up utilise une intéressante technologie de découverte des données qui étendra ses capacités d'analyse au travers de la plate-forme cloud de son acquéreur. La solution fera partie de l’offre Analytics Cloud de Salesforce, lancée en 2014 pour permettre aux entreprises de mieux analyser leurs données à partir de leurs interactions avec les clients. Salesforce a déjà réalisé un certain nombre d'acquisitions dans le domaine de la BI, de l’apprentissage machine et de l’analytique, parmi lesquelles MinHash, Tempo et RelateIQ.
En mettant la main sur BeyondCore
et sur son outil d'analyse de données, Salesforce entend renforcer les
capacités de sa plate-forme Analytics Cloud.
La start-up utilise une intéressante technologie de découverte des données qui étendra ses capacités d'analyse au travers de la plate-forme cloud de son acquéreur. La solution fera partie de l’offre Analytics Cloud de Salesforce, lancée en 2014 pour permettre aux entreprises de mieux analyser leurs données à partir de leurs interactions avec les clients. Salesforce a déjà réalisé un certain nombre d'acquisitions dans le domaine de la BI, de l’apprentissage machine et de l’analytique, parmi lesquelles MinHash, Tempo et RelateIQ.
lundi 8 août 2016
Salesforce s'attaque à Word en rachetant Quip
LMI du 05/08/2016
Selon un document transmis à la SEC, Salesforce.com vient de racheter Quip pour 582 M$. D'autres sources évoquent plutôt 750 M$. Créée par d'anciens de Google, la start-up développe un traitement de texte collaboratif qui permet de tchatter sur les documents.
Salesforce.com a confirmé en début de semaine qu’il rachetait Quip, éditeur d'un logiciel de collaboration dans le cloud. Cette transaction est intervenue quelques semaines après l'acquisition de Demandware pour 2,8 milliards de dollars, début juin. Selon un document transmis à la SEC le 30 juillet, le montant du rachat de Quip s’élèverait 582 millions de dollars. Selon d’autres sources, il approcherait les 750 M$.
L'éditeur Quip a été fondé en 2012. Sa solution facilite le travail en équipe à travers des fonctions permettant par exemple de tchatter sur des documents ou des feuilles de calcul. Dans un billet, le co-fondateur et CEO de la start-up, Bret Taylor, explique que l’intégration à Salesforce permettra une expansion plus rapide du service en touchant « des millions de gens à travers le monde ». Quant à l’application de Quip, elle apportera ses fonctionnalités de productivité à la plateforme Customer Success de Salesforce. « Les possibilités de combiner les données, le contenu et la communication sont surprenantes », assure le CEO.
De son côté, Microsoft a annoncé cette semaine la disponibilité générale de son API Rest Excel pour Office 365. Celle-ci va permettre d’utiliser Excel dans des applications. « Il s’agit de la poursuite de notre parcours pour faire d’Office une plateforme ouverte pour les développeurs », explique l’équipe du tableur dans un billet daté du 3 août.
L'éditeur Quip a été fondé en 2012. Sa solution facilite le travail en équipe à travers des fonctions permettant par exemple de tchatter sur des documents ou des feuilles de calcul. Dans un billet, le co-fondateur et CEO de la start-up, Bret Taylor, explique que l’intégration à Salesforce permettra une expansion plus rapide du service en touchant « des millions de gens à travers le monde ». Quant à l’application de Quip, elle apportera ses fonctionnalités de productivité à la plateforme Customer Success de Salesforce. « Les possibilités de combiner les données, le contenu et la communication sont surprenantes », assure le CEO.
Deux co-fondateurs venus de Google et Facebook
Bret Taylor a été l’un des co-créateurs de Google Maps et il a également été le CTO (chief technology officer) de Facebook où il a mis au point le bouton « J’aime ». Chez Quip, le responsable de l’ingénierie, Kevin Gibbs, autre co-fondateur de la start-up, vient lui aussi de Google où il a créé Google Suggest. Ce rachat confirme les plans ambitieux de Salesforce pour sa plateforme, estime Denis Pombriant, du cabinet Beagle Research Group. « Une plateforme doit être universelle parce que sa mission est de fournir tout au même endroit pour les clients. » Les concurrents Microsoft et Google ont des produits similaires, Salesforce doit donc en faire autant. La firme de Marc Benioff s’est récemment trouvée face à Microsoft, qui l’a emporté, lors des enchères visant le rachat de Linkedin. Cette fois, Salesforce prend pied sur le territoire de Microsoft avec un traitement de texte, note de son côté l’analyste Rob Enderle, d’Enderle Group. Certains voient en Quip un Word killer.De son côté, Microsoft a annoncé cette semaine la disponibilité générale de son API Rest Excel pour Office 365. Celle-ci va permettre d’utiliser Excel dans des applications. « Il s’agit de la poursuite de notre parcours pour faire d’Office une plateforme ouverte pour les développeurs », explique l’équipe du tableur dans un billet daté du 3 août.
vendredi 15 juillet 2016
Salesforce1 : Fin de support pour de nombreux terminaux iOS et Android
Salesforce.com va stopper le
support de nombreuses apps et versions web mobiles de sa plateforme CRM
et de développement d'applications Salesforce1 à l'occasion de sa
prochaine édition Winter 2017. Sur Android, seuls une poignée de
terminaux Samsung et Nexus résistent au coup de balai.
Ce n'est plus le printemps mais Salesforce.com en profite quand
même pour faire le ménage dans le support des versions mobiles de sa
plateforme CRM et de développement d'applications Salesforce1. A compter
de la prochaine édition de cette solution (release Winter'17), le géant
du CRM a en effet annoncé qu'il ne prendrait plus en charge le support
technique, les corrections de bugs ainsi que les évolutions
fonctionnelles pour les apps aussi bien que des versions web mobiles de
Salesforce1 pour certains terminaux. Dans la famille iOS par exemple,
les utilisateurs de Salesforce1 devront ainsi être équipés d'un iPhone
5, 5C ou d'un iPad 4, Mini 2 ou 3 afin de bénéficier d'un support
complet.
Côté Android la situation n'est pas meilleure, puisque seuls les détenteurs de smartphones Samsung Galaxy S5, S6, S7 ainsi que Note 4 et Google Nexus 5X et 6P seront éligibles à un support complet. Dans les tablettes Android c'est pire avec seulement deux rescapés, à savoir les Galaxy Note 10.1 et Tab A 9.7. « Nous centrons nos efforts sur le support des derniers terminaux iOS pour continuer à améliorer l'expérience globale de Salesforce1 pour iOS », a indiqué l'éditeur sur son site. « En raison du large éventail de terminaux Android disponibles, nous ciblons notre support sur un nombre restreint de terminaux Android afin de continuer à améliorer l'expérience globale de Salesforce1 pour Android ».
Côté Android la situation n'est pas meilleure, puisque seuls les détenteurs de smartphones Samsung Galaxy S5, S6, S7 ainsi que Note 4 et Google Nexus 5X et 6P seront éligibles à un support complet. Dans les tablettes Android c'est pire avec seulement deux rescapés, à savoir les Galaxy Note 10.1 et Tab A 9.7. « Nous centrons nos efforts sur le support des derniers terminaux iOS pour continuer à améliorer l'expérience globale de Salesforce1 pour iOS », a indiqué l'éditeur sur son site. « En raison du large éventail de terminaux Android disponibles, nous ciblons notre support sur un nombre restreint de terminaux Android afin de continuer à améliorer l'expérience globale de Salesforce1 pour Android ».
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